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 [RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres

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Mestre Pycell
[pnj] Messager Ducal
Mestre Pycell



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MessageSujet: [RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres   [RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres EmptyMer 27 Juil - 12:13

Cecilia a écrit:
Le voyage avait été horriblement long depuis Belley, surtout pour les lombaires de la jeune femme qui avait été mis à rude épreuve durant sa grossesse difficile. A cela s'était ajouté une chaleur à vous tuer sur place, tant celle-ci avait été étouffante, aussi avait-elle été des plus ravie d'aller se noyer dans un bain en compagnie de son époux dès que le cortège von Frayner de Wissocq était arrivé à Ribiers.

Le choix de la tenue, moment généralement long et parfois sportif selon la robe, était pour ainsi dire crucial puisqu'elle aurait le plaisir d'enquiquiner Lanfeust. Cela faisait un moment qu'elle ne l'avait pas vu et qu'ils n'avaient pas combattu l'un contre l'autre à coup de caducées. L'occasion se présenterait sans doute ce jour après que les différents aient eu lieu. Constantin, dernier né de la famille et unique sur bien des points qu'il serait trop long d'énumérer.

Après avoir profité de Son Altesse adoré d'Epoux et s'être apprêtée, la jeune femme vérifia auprès d'Hugues de la Crenouille que la cérémonie de baptême pour Constantin ainsi que la confirmation pour les autres avait été préparé, que le vin de messe avait été sorti, toussa toussa.

Sitôt terminé ce petit check up, la jeune femme se dirigea vers la Chapelle en prenant soin d'emmener avec elle l'une des huitième merveilles du monde, suivit de près par une nourrice, ses enfants et son blond adoré. Ne manquait plus que la troupe de parrain/marraines et le lapinou de service, en la personne de Michalak, pour commencer les festivités.

Aloys.von_frayner a écrit:
Pour commencer, cette journée avait été compliquée. Et plus encore que la journée car le chemin biscornu menant jusqu’à Ribiers avait bien prit trois jours ! Ne pouvaient-ils point faire des routes toutes droites ? Quel besoin avaient-ils de leur faire des petits détours tantôt montagneux, tantôt champêtres, souvent boisés, mais fort heureusement par ce temps chaud et sec, ils avaient évité les chemins boueux.

Afin de bien vous faire profiter de toute l’aventure, reprenons à J-3, alors même que la noble famille von Frayner se trouvait encore à Belley.


Non ! Pas la carriole ! Il fait une chaleur à vous estourbir là dedans. Non non non. J’irais sur Adlerjunge !
Ne soyez donc pas aussi tartufe, vous ne supporterez jamais tout le voyage sur cette fichue bourri…
Je vous interdit de finir cette phrase ! Ce n’est pas une fichue bourrique ! La-la-la-la-la…


La nourrice continua sa prêche nonobstant les mains fermement plaquées contre les oreilles du garçon, qui tentait de sa propre voix de couvrir celle de la grosse femme.

Cessez de renâcler ainsi jeune homme, vous êtes parfaitement ridicule ! Au bout de deux heures vous serez fourbu et il sera trop tard pour vous plaindre.
Je ne me plaindrais pas !
Je suis tout à fait sûre que si, vous allez…
Non.
Si…


Une guerre de Non-Si s’entâma d’une belle durée. Pour finir la bonne femme capitula, certainement pour le seul plaisir de pouvoir dire « Je vous l’avais bien dit », mais peut être aussi et surtout pour remplir sa fonction. Aloys était loin d’être le seul membre de la fratrie von Frayner à nécessiter son attention. Constantin le plus petit, et les demoiselles avec leurs centaines de jolies toilettes étaient tout autant prenants. Par ailleurs avant le départ, ils gravitèrent tous en attraction autour de la nourrice afin de régler leurs derniers caprices, de quoi la tournebouler assez pour qu’elle reparle de ce fameux jour pendant bien des jours après à l’intérieur de ce fichu véhicule dans lequel il ne pénètrerait pas.

Sans grande surprise, la route se fit comme on le lui avait prédit. Après quelques heures, le petit von Frayner cuisait au soleil, ses articulations s’enraidissant tant à cause de l’effort continu que de la position permanente, mais quand on le héla, il ne se laissa pas déstabiliser et nia tout de bloc, camouflant avec un sourire amer ses grimaces d’inconfort.


Moi ? Peiner ? Que nenni ! Je pourrais bien continuer des heures encore !


C’est ce qu’il fit, seulement par fierté et désir d’imiter les grands. Son fondement pétri et malmené par la selle. Sa petite main arborant une toute nouvelle entaille causée par le frottement des rênes. Pourtant il oublia les aléas du voyage, dès qu’il cessa de se tenir droit et fier à coté de la carriole.
Le temps passa bien plus vite à l’arrière du cortège auprès des soldats qui s’enjaillaient à coup de gnôle et de blagues graveleuses. A se croire dans une taverne, dans laquelle il ne manquerait qu’un petit air de cornemuse et quelques poulardes à grailler avec les marauds du patelin. Les discussions qu’il épiât ne contenaient ni poésie ni fioritures ; elles étaient brutes de vie. Des histoires de puterelles à celles de bâtardes.
Intérieurement Aloys riait bien d’imaginer frère et soeurs enfermés avec la nourrice, à l’écouter rouspéter à chaque fois que les cahots de la route, la faisait enlaidir son ouvrage d’un point mal placé.

Du reste, les trois jours furent tout à fait semblables, pas le temps de musarder, ni l’envie au demeurant. Un soulagement général se fit sentir quand au dernier jour la petite troupe arriva enfin à destination.

Le garçon enfin décollé de sa selle était raide, fatigué, et pourtant rayonnant de fierté. Comme tous les confirmants, il bénéficia d’un bon bain. Puis hésita longuement entre deux tenues. L’une d’un magnifique rouge cramoisi, l’autre d’un beau bleu, certes une couleur royaliste et donc pas très patriote pour le petit impérialiste, mais le bleu faisait écho à la couleur de ses yeux. Le temps perdu en tergiversations prit fin à l’instant où on lui ordonna d’enfiler une longue chaisne d’un blanc immaculé ainsi que des braies et chausses assorties, vêtement nettement plus adapté pour l’occasion. Et promptement s'il le voulait bien, car on allait pas l'attendre.


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Mestre Pycell
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MessageSujet: Re: [RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres   [RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres EmptyMer 27 Juil - 12:13

Lanfeust86 a écrit:
Le Roy avait été convié par Cecilia a un baptême mais il devrait joueur le rôle de parrain.
Pauvre enfant, pensa-t-il, lui qui avait la malédiction des Roys sur la tête et qui était en confrontation avec l'Eglise, c'était peut être pas le meilleur choix.
Mais bon après tout Lanfeust avait déjà était parrain, plusieurs fois, il se souvenait même plus d'ailleurs de tous.
Le carrosse aux couleurs de France était parti de Rodez où il logé en ce moment pour prendre la direction de Ribiers, au moins elle avait eut la délicate attention de pas l'inviter en Empire.
Pas qu'il était anti impériale, mais les Sparte lui sortait par tous les orifices en fait.

Arrivant sur les lieux, il en descendit et se fit ensuite diriger vers le lieu de la cérémonie, la chapelle de Ribiers où la famille de son amie était réunie.


Cecilia le bonjour.

Il regarda alors toute la petite troupe, il y avait clairement besoin de présentations.

Lorenz.von.frayner a écrit:
La Savoie lui donnait mal à la tête ces derniers temps. Les chamailleries au conseil l'épuisaient. Le seul bon temps qu’il prenait était auprès des siens. Ses enfants grandissaient vite : Béatrice devenait une jeune femme et Aloys un futur adolescent en pleine rébellion. Lyanna quant à elle poussait telle une belle fleur, digne héritage de sa mère. Mais n'oublions pas le dernier de la portée : Constantin. Tout juste sorti du ventre de sa mère, le visage joyeux, tel un trésor tant attendu. Cependant Lorenz n'était pas dupe, il s'agissait du dernier enfant qu'il aurait avec Cecilia. Les médecins leurs déconseillaient strictement d'en refaire un autre. C'est qu'il n’était plus tout jeune le couple impérial et à chaque enfantement Cécilia rencontrait des difficultés. On ne peut malheureusement lutter contre l'emprise du temps. Voilà pourquoi chaque minute était importante. C'est ainsi que quelques mois après la naissance de Constantin, Lorenz fit préparer son baptême.
L'organisation du baptême du petit dernier avait été faite simplement, tout comme le mariage qui avait uni le prince à la duchesse.
Apres un brin de toilette, L'intrépide avait revêtu une tenue simple mais digne de son rang :


[RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres 114585lorenz2_zpshgwd2qpa

Puis il se rendit dans les appartements d'Aloys :

" - Mon fils êtes-vous prêt ? "

Sa voix résonna dans son appartement là où il fit éruption. Il n'attendit pas la réponse de son fils et il l'attrapa avant de le mettre sur ses épaules.

" - Un jeune homme de toute façon ne mets pas trois heures à se préparer.
Aller jeune Chevalier allons y ! La Reine Mère ne va pas nous attendre longtemps. "


Son premier garçon sur les épaules, le prince prit direction de La Chapelle où était déjà présent son épouse et le Roi de France.
Il posa son fils à ses pieds.


" - Majesté le bonjour.
Aloys, voici Sa Majesté Lafeust de Troyes, roi de France.
Majesté voici mon premier fils Aloys von Frayner. "


Il regarda le Roi de France lui lança un sourire franc :

" - Je suis ravi que vous acceptiez d'être le parrain de Constantin".
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Mestre Pycell
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MessageSujet: Re: [RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres   [RP] Chapelle Santa Caterina - Baptêmes des petits monstres EmptyMer 27 Juil - 12:14

Esthelle a écrit:
Ordre avait été donné de suivre.
Elle avait suivi.

Mêlé au reste de la domesticité ayant reçu les même consigne, l’Aiglonne avait accueilli ce nouveau périple comme une bénédiction. D’une part, elle pourrait chasser le début de mélancolie provoqué par le départ du Breton qui ne s’en dit plus vraiment un, et d’autre part, elle espérait que la promiscuité du trajet l’aiderait à s’intégrer un peu mieux en se rapprochant des autres membres de la mesnie Impériale. Et bonus de l’ensemble : Elle pourrait observer plus aisément la famille maitresse dans une intimité toute relative. Sa place aux écuries avait l’avantage non négligeable de marier sa passion à une forme de sécurité en la soustrayant au regard du Von Frayer, et aux soupçons qui pourraient découler, mais avait lésé ses possibilité d’étude de la famille et de son père en particulier. Mais cela ne la dérangeait pas, elle avait tout son temps.

Juché dans l’une des carrioles à l’arrière du convoi, la jeune femme prit plaisir à discuter avec l’une des filles de cuisine sans rien perdre du paysage. Elle trouvait dans sa nouvelle amie, une personne de caractère, simple, amusante et beaucoup plus sensible d’esprit que son apparence ne le laissait penser. En les observant, sur l’instant, on pourrait ce dire qu’il ne pouvait exister deux demoiselles plus différente physiquement l’une de l’autre – ce qui était bien évidement faux - : L’une était fine, presque frêle sous la comparaison, alors que l’autre porter ses courbes de chaires avec beaucoup de sensualité. Nul doute que de nombreux regards devaient la suivre quand elle était aux services des plats. Jais contre doré. Bleuâtre contre sombre. Leur seul point commun était de respirer toutes deux la santé. Une santé affichée par leur sourire, leurs yeux pétillants d’amusement et le rose colorant légèrement leurs joues. Avec pareils compagnie, le voyage fut tout sauf une corvée malgré les taches quotidienne nécessaire au bon défilement des lieux. Montage du campement le soir. Démontage le matin. Dans son cas, ses tâches étaient toujours en rapport aux équidés. Les rassembler dans un enclos de fortune, s’assurer de leurs constitutions, de leurs rationnements et de leurs soins. Et parfois, parvenant à terminer avant les autres, l’Aiglonne rejoignait Hélèane pour l’aider dans ses propres devoirs, la vaisselle la majorité du temps. Elle avait ainsi pu être, à quelques reprises, témoin de scène familiale aussi simple que surprenante venant de leurs maîtres.

Une pointe d’envie lui vrillait alors le cœur.

Et c’est précisément ce qui lui arrivait, là, à cet instant alors qu’elle observait l’entrée de la famille princière, depuis les bancs arrières de la chapelle où la domesticité avait prit place. Elle parmi eux. Et , bien-sûr, elle ne rata rien de l'arrivée de Lorenz sur les épaules de qui était grimpé son fils aîné. Elle avait déjà une affection toute particulière pour cet homme en devenir, encore enfant par bien des aspects, mais dont l’esprit et la langue ne manquaient pas de vivacité. C’est pourtant son père - leur père - qu’elle ne quittait pas du regard. La scène lui en remémorait une autre, multipliée à de nombreuses reprises au fil de son enfance. Joap remplaçait l’Aigle, dans son esprit, et elle-même prenait la place du jeune Von Frayer. Combien de fois le brave homme ne l’avait-il pas porté ainsi ? Revenant du village, des moissons ou de l’église, toutes les occasions, toutes les excuses étaient bonne pour quelques minutes de jeu. Tant que Claatje n’était pas là. Nostalgique, son sourire et son regard lointain trahir son sentiment. Enfin, jusqu’à qu'un coude voisin n’atterrissent dans ses côtes. Hélèane, évidemment.


- « A quoi qu’tu penses ? »
- « A mon grand-père … »


Ce pieux mensonge ne trouva d’autre réponse que le sourire complice de sa nouvelle amie. Lui rendant à l’identique, l’Aiglonne lissa ses plis invisible de ses jupes pour reprendre une attitude neutre et se permettre d’observe de nouveau la scène centrale. Pour l’occasion, elle avait revêtue une robe simple, prédominé par les ton verts bleuté, laissant apparaître à son cou, une fine lanière de cuire auquel pendait une simple pierre blanche. Initialement petit cailloux sans autre valeur que sentimentale, elle avait, avec l’aide d’un maître maçon de Belley, pu le polir légèrement, le nettoyer complètement et percer d’un trou sans le briser, le portant à présent comme un emblème.

Lyanna_ a écrit:
Lorenz avait filé avec Aloys sans prendre le temps d'attendre la jeune brunette qui dû se dépêtrer seule avec la nourrice.
Habillée et coiffée, elle se dépêcha de faire faux bon à la vieille femme qui voulait lui mettre une couronne de fleurs dans les cheveux.

Une couronne de fleurs? Non mais elle l'avait bien vu? Elle acceptait les robes mais la couronne de fleurs...c'était trop! Ce n'est pas avec une couronne de fleurs qu'elle sera acceptée dans l'armée. Non mais vous l'imaginez sur un champ de bataille avec une couronne de fleurs sur la tête? Risée absolue....

La jeune femme s'enfuit donc du château malgré les cris de sa nourrice et... n'eut d'autres choix que de monter dans la carriole familiale.

Maugréant et pestant intérieurement, elle ne quittait pas son jeune frère du regard qui, lui, avait eu le droit de monter son cheval.

Alors que toute la famille prenait la direction de l'Eglise, la pauvre Lyanna dû rester en retrait pour déplisser sa robe. Elle s'était tellement collée contre le port pour regarder son cavalier de frère, que la robe en était toute plissée.

Elle ne rejoignit donc la famille que quelques minutes plus tard et trouva sa Mère, son beau Père et son demi frère en grande conversation avec un homme qu'elle ne connaissait pas. Il faut dire qu'elle avait été absente de la maison pendant bien longtemps et qu'un visage surement ami était inconnu pour elle.

Elle s'approcha doucement mais resta malgré tout en retrait. L'éducation qu'elle avait reçue lui avait appris à ne pas déranger les adultes lorsqu'ils parlaient.
Ne quittant pas le groupe du regard, elle attendit donc qu'on l'invite à les rejoindre.

Michalak a écrit:
Le brun devait officier en temps que chapelain des Von Frayner. Ils lui avaient proposés et c'est avec plaisir qu'il avait accepté cette fonction de Chapelain en plus de toutes celles qu'il avait au sein de l'église ainsi qu'en Savoie.

Énormément de choses s'étaient déroulé ses derniers semaines entre le conseil à géré qui devenait invivable et les cérémonies à faire cela devenait compliqué. Par la force des choses à et cause de réformé il avait finit par ne plus être le Duc de Savoie sur son trône. Il était devenu le Duc déchu de Savoie. Michalak le Bref pour certains. Il ne lui restait finalement que son honneur d'avoir continué la lutte autant qu'il pu jusqu'à la reprise du château par le conseil Ducal de régence. Conseil qui n'étaient que l'émanation des volontés que d'une seule famille connu de tous en Savoie. L'intrigue était même au coeurs des choses en Savoie.

Michalak était passé à autre chose malgré le dégoût de cette façon de procéder. Aujourd'hui il était là pour faire entrer deux enfants Von Frayner dans la grande famille Aristotélicienne.

Le prélat leva le nez en entendant l'annonce du Roi de France ici. Comme quoi le monde était petit.... A un moment c'était lui qui s'y était rendu voilà que le Roi de France venait finalement ici pour cette cérémonie afin d'être le parrain des deux enfants.

Il saluât comme un bon diplomate qu'il était en adoptant un ton des plus neutres laissant de côté la politique.

L'homme commença donc la cérémonie.


Bonjour à tous et à toutes. Je vous remercie d'être venue à en ce jour pour aider Constantin à intégrer notre grande famille Aristotélicienne.

Nous allons pouvoir commencer la cérémonie.


Pour débuter cette cérémonie, je vais tout d'abord vous lire à tous la définition du baptême.


Il pose les yeux sur le Livres des Vertus, Il commence à bien le connaître surtout les lignes qu'il a sous les yeux.


L'Amitié Aristotélicienne est une communauté de vie: Par le Baptême chaque baptisé serait introduit dans une union spirituelle en puissance qui serait donc un contact spirituel avec tous les autres baptisés.
Le baptême introduit le fidèle dans une union avec les autres baptisé et une communion avec les Saints.

Le Baptême, ou rite d'entrée dans l'Eglise Aristotélicienne, donne au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne parfaite. Cette amitié est encore en puissance et demande à être développée par un contact avec Dieu dans la prière et les sacrements, et aussi par le témoignage de douceur et de compassion avec les autres.

Le baptême introduit donc dans une famille divine et humaine. Divine car il met en relation avec Dieu. Humaine car il intègre dans la société humaine de l'Eglise Aristotélicienne.


Il referme le Livre, pose le regard sur le fils de Cécilia et Lorenz qui se trouvait dans les bras de sa maman. Il lui adresse un sourire discret mais le ton est grave comme il le faut. C'est un engagement sérieux que le baptême.

Aujourd'hui Constantin vas franchir une étape essentielle de sa futur vie.
En temps que Mère de cet enfant, avez-vous bien compris le sens de l'engagement que vous allez prendre devant nous en souhaitant que votre enfant soit baptisé?
Le faites vous en toute conscience et saine d'esprit ?
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